O Temps
Ennemi redoutable, je te hais !
Secondes éternelles
Heures insoutenables
et pourtant je t’espère
Le souffle court, le coeur battant
Emporte avec toi mes brouillards suffocants.
O Temps
Ami inestimable, je t’aime !
Instants immortels
Moments incomparables
Combien même tu m’exaspères
L’âme légère, le corps volants
laisse-moi retenir mes délicieux printemps.
Morine Dutiesq
16 XII 2003